Yasmina Khadra dans la course à la présidence de la République

[ltr]Par ses multiples écrits en langue de Molière  traduits en plusieurs langues dans le monde, l’auteur de « A quoi rêvent les loups ? » s’est créé des détracteurs littéraires qui le poursuivent depuis qu’il a révélé sa véritable identité en 2001 dans « L’Ecrivain ». Depuis Mohamed Moulessehoul (son vrai nom)  n’a pas cessé de se justifier. Avec sa déclaration d’intention de briguer un poste présidentiel, il va sûrement se créer d’autres opposants, des détracteurs  politiques. Cela va être la curée.  [/ltr]

[ltr]Certes, dans le passé, des hommes de lettres (romanciers et poètes) tels que Victor Hugo, L’émir Abdelkader, Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Léopold Sédar Senghor, Aimé Césaire, Abdou Diouf et bien d’autres ont occupé des postes politiques et ils n’ont pas perdu leur renommée littéraire. Mais de nos jours, qu’en est-il d’un homme de lettres dans un poste politique ?[/ltr]