Les dérives morales de l’humanité

En Occident, au nom des droits de l’homme, des libertés individuelles et de la liberté de la presse, plusieurs concepts ont subi des glissements sémantiques et témoignent plutôt des dérives morales de l’humanité.
Employés avec un certain euphémisme, les termes et expressions tels que « nudisme », « exhibitionnisme», « pornographie », « avortement », « homosexualité », « lesbianisme », « mariage gay », « adoption par un couple d’homos », « inceste », « euthanasie passive ou active », « échangisme », « polyamour », « polyandrie », « pédophilie », « prostitution », « adultère », « clonage », « insémination artificielle avec donneur étranger », « relation sexuelle consentie », etc. ne constituent plus des tabous ou des signes de comportements pervers. Les adeptes de ces types de faits sociaux inédits s’affichent en public et revendiquent même des droits. Les désirs du corps prennent manifestement le dessus sur la raison et tirent vers le bas l’homo sapiens, cet être censé douer de sagesse.
Les dérives morales de l’humanité se banalisent et se généralisent avec le retour progressif à la vie animale. Cependant, l’échelle des valeurs morales diffère d’une société à une autre et d’une culture à une autre.